- Le délire de 9 musiciens incontrôlables !! - La qualité d'un set varié de compositions originales !! - La chaleur du Ska " Mélangé " : ska, rock-steady, reggae, jazz, bossa, zouk, rock... - Le plaisir de la fête en musique !! - La convivialité d'un bar en effervescence !! - La joie d'un sourire contagieux qui se propage !! - La garantie d'une soirée réussie sinon inoubliable !!
Commentaire: Tiens, agréable surprise aujourd'hui... Une enveloppe épaisse dans la boite aux lettres... Soit c'est les impots qui m'envoient une ènième lettre piégée à l'anthrax, soit le piercing de mon coloc, soit... Et oui, l'EP de Jen Murdza, commandé la semaine dernière... Simple présentation pour le premier opus de cette belle blonde, mais enrichi d'un joli cadeau: Une carte, format carte postale, de la miss, avec une dédicace personnalisée au dos: "Yann, thank you for your support ! Merci ! Jen (illisible)" Ecris à la main... pas du pipot ^^ Voila comment fidéliser des auditeurs... Première écoute, entre 2 épisodes de Lost (saison 2, il part en couilles Charlie...): C'est très agréable, la guitare est bien travaillée, la voix douce et envoutante, un peu du Stephen Speaks / Ryan Cabrera / Damien Rice au féminin en somme... Certaines chansons me rapellent même du Mariah Carey à son ancienne époque au niveau du travail sonore... Pour ceux qui aiment le "Michelle Branch-Like", n'hésitez pas ! A 5 $ (+0,63 pour le port), son premier EP et une carte dédicacée, c'est donné !
Commentaire: Novice de la chanson ou artiste confirmé ? Un peu des deux, à vrai dire. A l'écoute de son premier album, ce jeune homme de 27 ans, contrebassiste formé au classique puis au jazz, se révèle un excellent musicien, qui aurait poursuivi bon an mal an sa carrière à l'abri des regards si son éditeur ne l'avait pas convaincu de chanter lui-même ses propres chansons. Délicatement, il impose derrière son piano, de sa voix grave, un univers poétique d'un ton, sensible, ironique et parfois détaché. Pour ses débuts de chanteur, entouré d'un saxophoniste, d'un contrebassiste et d'un batteur, Florent Richard livre un disque très personnel, qui n'a rien à voir avec un collage de références. "L'art et la manière" fait planer un parfum qui fleure bon la vie parisienne, du "Dimanche à Paris", quand "les rues se réveillent sans voix", aux "Femmes des villes", en passant par les "anarchistes du samedi soir" ("Place à l'art") et les salons du Tout-Paris ("L'actif artificiel" et ses tirades assassines). Il faut dire que Florent Richard doit beaucoup à Pierre Chazal, son parolier, et vice-versa, on imagine mal l'un sans l'autre tant est réussie l'alchimie des notes et des mots. D'une plage à l'autre, la gamme des sentiments glisse de la mélancolie ("Au bout du monde") à la nostalgie ("Un jour sans fin"). "Ombre et lumière" rappelle William Sheller, mais ce n'est là qu'un clin d'oeil. Ses musiques et la précision de ses arrangements, qui évoquent parfois le couple Gainsbourg/Goraguer de la fin des années 50, sont intemporelles et habillent à merveille des tranches de vie bien contemporaines. Et pour rappeler qu'il est un compositeur avant tout, il a glissé dans cet album un instrumental au piano, l'émouvant "De père à fille".
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