Commentaire: Mai-Lan n'est pas tout à fait une chanteuse, mais une styliste... J'aimerai toutefois vous présenter mon coup de coeur du moment (merci Alex !), à savoir un extrait de la BO du thriller de Kim Chapiron, Sheitan, avec Vincent Cassel. Une mélodie douce (et très simple à faire à la guitare), portant une douce voix fluette débitant des mots choquants. Un pur régal... Il faut voir le film pour mieux comprendre l'univers ainsi développé dans la chanson, ou, mieux, se remémorer des images de femmes battues comme on a pu en voir dans des propagandes télévisées... Cette chanson prone le "retour de flamme" féminin en réponse à la violence purement machiste des petits cons qui se complaisent dans les tournantes et autres viols collectifs. J'en profite pour vous inviter à consulter le site SOS Femmes.
Commentaire: Bon, j'ai un aveux à vous faire... Je suis amoureux... Je viens de tomber amoureux d'une jeune artiste australienne originaire du sud de la Corée, à la voix divine, à la guitare légère, au sourire charmeur, aux petits yeux un peu typés, et surtout, à son amour de la nature, du retour aux sources... De l'esprit roots, comme le laisse deviner sa chevelure "rasta"... J'aime les locks sur une fille, je trouve ça... craquant... Saritah fait passer, au travers de sa musique, un message qui prone la positivité, la conseille, l'amour, le partage, l'écoute, l'ouverture, la conscience, sur des mélodies qui vont du folk à la musique roots, en passant par les inspirations percussionnistes africaines et autres chansons pop qui sentent bon le printemps. Après (avant ? j'ai pas suivi...) avoir sorti un premier EP, These Days / You're the one, elle nous régale d'un premier album, Gratitude, le second étant prévu pour début 2007. Il est à noter qu'elle a été nominée aux Best Blues N Roots Artist in the 2006 WAMI awards ! En espérant qu'elle vienne nous voir dans la région PACA... J'ai une déclaration à lui faire...
Commentaire: Dans la lignée de Trace Bundy et Erik Mongrain, voici Jon Gomm, découvert grace à l'excellent blog AllDueRespect. Jon Gomm est un auteur/compositeur/interprète (je préfère définitivement le terme singer-songwriter !) et surtout guitariste acoustique solo, avec un incroyable style de pur virtuose, où il utilise une guitare acoustique pour créer des sons de percussions, lignes de basses et des mélodies scintillantes tout à la fois. Ses influences vont de Robert Johnson (vous savez, le bluesman qui a vendu son ame au diable, cf Crossroads) à Radiohead, en passant par Roni Size et Prince.
Commentaire: Découvert également dans la bande originale de Scrubs (quand je vous disais que je suis accro), Michal Tolcher est un (encore) auteur/compositeur/interprète américain (bizarre, je suis plus habitué au terme anglais, singer/songwriter) qui viens de sortir sont premier album, "I am", après un "road trip" (je m'anglosaxophonise !) assez mystique et introspectif. D'après sa biographie, il semble être assez lié à la religion... ou du moins à la spiritualité. Et c'est ce qui ressort de son propre commentaire:
Il y a une partie de moi que j'aimerais que vous voyez. C'est ce dont il est sujet dans l'album. Découverte et révélations. J'essaye de partager mes expériences personnelles en m'ouvrant aux rencontres humaines ; je suis le reflet de ce que vous êtes. Si je réussis, alors je serai une seule voix de plus coeurs et esprits. C'est la magie de l'expression artistique. Quand elle est réelle, elle est ressentie par ceux qui s'expriment et ceux qui en témoignent. J'ai voulu un album qui chatouille les oreilles, qui fasse vibrer les hanches et stimuler l'esprit. Ma formule est antique et simple: Mélodie + Rythme + Signification = Chanson
Sooner or later We'll be lookin' back on everything And we'll laugh about it like we knew what all was happening And someday you might listen to what people have to say Now you learn the hard way
Commentaire: Joshua Radin a partagé plusieurs chansons pour la bande originale de ma série culte, Scrubs. Peut être est-ce dû au fait qu'il soit un ami intime de Zach Braff, l'acteur principal de la série ? Allez savoir... Toujours est il que dans la saison 3, nous assistons à la lente déprime du Dr Cox, suite au décès (et on ne l'apprend qu'à la fin de l'épisode en question) de son meilleur ami, frère de son "ex"-femme... Au moment du dur retour à la réalité du Dr Cox, qui se déroule dans le cimitière pour l'enterrement de son ami, nous sommes au comble de l'émotion grace à une douce mélodie, Winter, de Joshua Radin, morceau proposé en extrait. J'attends l'album avec impatience pour en découvrir plus sur cette voix aussi émouvante.
Commentaire: Greg Frascotti, est né à Neuchâtel en 1978. Très jeune, il prend sa guitare et compose des chansons. Il trouve dans la musique, le moyen de s'exprimer, de crier sa colère, de dire sa tristesse mais aussi de transmettre sa joie, ses valeurs, sa foi en la vie, sa volonté de rester positif... Il fait sonner sur 2 cordes vocales, 6 ou 12 cordes d'une guitare, tout ce qu'il a besoin de nommer...
Commentaire: Provient du site officiel: Erik est un jeune guitariste autodidacte, compositeur né à Montréal il y a 26 ans. Il joue depuis l'âge de 14 ans. Il s'intéressait plutôt aux sports et ne savait pas jouer de la guitare, il apprendra par oreille. Après avoir flirté avec les Metallica et Jimi Hendrix, c'est Kurt Cobain et Nirvana qui furent ses inspirations du début. Vers l'âge de 18 ans, un grand tournant... Il tombe sur un cd du guitariste Don Ross. «Ce fut une révélation, j'avais enfin trouvé mon créneau.» Après Don Ross, il fait une nouvelle découverte, encore plus déterminante, celui qui a tout changé dans sa courte vie musicale ; Michael Hedges. Durant cette période, il découvre et expérimente une technique jusque là encore inconnue pour lui, le « lap taping ». - « J'ai tout de suite adopté cette technique. » Pendant quatre ans il a joué de la guitare électrique. Suivra une période classique et acoustique, découvre Bach. En voulant jouer du classique, il a voulu apprendre à lire la musique. Depuis qu'il a 18 ans, Erik Mongrain se démarque par son originalité musicale. Pour gagner sa vie, Erik joue dans le métro, musicien de rue, il a joué dans les rues en Europe, aux USA. Un musicien de rue qui « gratte et tape » des compositions originales sur une guitare posée à plat. Mélange de sons de musiques du monde, la musique du jeune musicien Erik Mongrain, sort des sentiers battus. Un musicien à découvrir.
Commentaire: Provient de son espace MySpace: Brakaus, 93170 - 44000 - 28ème branche - kamikaze - machoire pérforée // L'homme, survit en braconnant des mots dans la forêt de la langue française et revient parfois à la ville porter par les flots emplis de cadillacs menteuses. En équilibriste du remous libre façon Bashung et position voutée dans le ciment. Il nous offre ici un découpage de son Guetto-Blaster labial, de ses k7 des Clash, Neil Young et NTM sur des planches couleur feuille, tantôt foulées par une jaguar ou une mustang. Seul sur les trottoirs, si il peut cacher sans écorces son béton brutal, c'est pour mieux en faire jaillir une floraison d'écorchés tout comme les personnages de "la colo de kneller" de etgar keret qui ne se rêve plus. Une fois partie, c'est encore la même histoire qui recommence.
Commentaire: Provient de Wikipedia Israel Kamakawiwo`ole (20 mai 1959, 26 juin 1997) dit Bruddah Iz ou IZ, fut le musicien et chanteur hawaiien le plus connu dans les années 1990. Il dut sa renommée internationale à son medley, Somewhere Over the Rainbow/What a Wonderful World dans l'album Facing Future (1993). Cette chanson fut fort diffusée sur les ondes françaises à la fin du XXe siècle, et apparaît dans le générique de fin de nombreux films, parmi lesquels À la rencontre de Forrester, Rencontre avec Joe Black et Amour et amnésie.
Facing Future (1993) fut 25ème au Classement Pop du Billboard Magazine, dont les classements font référence. Dans ce même magazine, Alone in IZ World (2001) fut 1er au Classement de la Musique du monde, 135ème au Top 200, 13ème au Classement des albums indépendants, et 15ème au Classement des meilleures ventes d'albums sur Internet.
Israel Kamakawiwo`ole naît en 1959 sur l'île d'O`ahu à l'hôpital de Kuakini. Ses parents sont Henry Kaleialoha Naniwa et Evangeline Leinani Kamakawiwo`ole. Il grandit dans la communauté de Kaimuki dans la banlieue de Waikiki où ses parents se rencontrèrent et se marièrent. Il commence à jouer de la musique avec son frère aîné Skippy à l'âge de 11 ans, inspiré par les grands artistes hawaïens de l'époque tels que Peter Moon, Palani Vaughn et Don Ho, qui fréquentent l'établissement tenu par ses parents.
Puis sa famille déménage à Makaha. Là, il rencontre Louis "Moon" Kauakahi, Sam Gray et Jerome Koko. Avec son frère Skippy, ils forment le groupe Makaha Sons of Ni`ihau. À partir de 1976 et jusque dans les années 80, le groupe de musique hawaïenne contemporaine Makaha devient célèbre en faisant des tournées à Hawaï et aux États-Unis, et sort 10 albums.
En 1982, son frère Skippy décède. La même année, il épouse Marlène, son amour d'enfance, dont il a bientôt une fille prénommée Ceslieanne "Wehi".
En 1990, Iz sort son premier album solo Ka`ano`i grâce auquel il obtient le Prix du meilleur album contemporain de l'année et le Prix du meilleur chanteur de l'année, décernés par l'Académie Hawaïenne de Musique (HARA, Hawai`i Academy of Recording Arts). Facing Future sort en 1993. Considéré par beaucoup comme son meilleur album, Facing Future contient sa chanson la plus célèbre, le medley Somewhere Over the Rainbow/What a Wonderful World, ainsi que d'autres titres tels que Hawai`i 78, White Sandy Beach of Hawai`i, Maui Hawaiian Sup'pa Man et Kaulana Kawaihae. En 1994, Iz est déclaré Chanteur préféré de l'année par l'HARA. L'album E Ala E (1995) contient la chanson du même nom, engagée politiquement. En 1996, In Dis Life contient des titres tels que In this life et Starting All Over Again.
Tout au long de sa carrière, il défend les droits hawaïens et l'indépendence d'Hawaï, dans ses chansons (dont les paroles faisaient souvent directement référence à l'indépendance) mais aussi dans sa vie de citoyen.
En 1997, il est de nouveau récompensé par l'HARA comme Meilleur chanteur de l'année, Meilleur artiste de l'année, Meilleur album de l'année, et Meilleur album contemporain insulaire de l'année. Il regarde la cérémonie depuis une chambre d'hôpital.
Dans les dernières années de sa vie, Iz est obèse et dépasse un moment les 340 kg. Il est hospitalisé de nombreuses fois, et décède le 26 juin 1997, à 38 ans, d'une maladie respiratoire liée à son obésité. Le drapeau hawaïen est mis en berne. Son corps est exposé au Capitole d'Honolulu, où plus de 10 000 personnes viennent lui rendre hommage le premier jour. Ses cendres sont ensuite dispersées dans l'océan à Makua Beach.
Il était surnommé "The Gentle Giant" (Le gentil géant) par ses nombreux admirateurs. Il était également l'un des rares Hawaïens de pure souche. On le décrivait comme quelqu'un de toujours joyeux et positif, aimant son île et le peuple d'Hawaï.
Je dédicace ce post à Camille, la plus charmante rencontre que j'ai pu faire...
Commentaire: Voici une jeune américaine qui commence à bien mener sa voie... Kari Kimmel est une charmante chanteuse dont on a pu entendre quelques unes de ses chansons dans, par exemple, Fausses Blondes Infiltrées, des frères Wayans, Ella au pays enchanté (avec Anne Hathaway, actuellement à l'affiche de Le Diable s'habille en Prada), ou encore Shall we dance ? avec Richard Gere et Jennifer Lopez, sans parler des diverses séries où elle a prété ses chansons. J'hésitais encore dans quel genre la classser, savoir si elle se rapproche plus de Tristan Prettyman ou Joy Williams... Mais la chanson que j'écoute là, Seattle, m'a donné le déclic... Ce timbre de voix ressemble à du Christina Aguilera... Ce qui n'est pas sans me déplaire !
Commentaire: Provient du site Mozella France MoZella est une jeune artiste de 24 ans née à Détroit dans le Michigan aux USA. Dès son plus jeune âge, elle fut berçée par des styles de musique très diversifiés : de Stevie Wonder aux Beatles en passant par Madonna. A l'âge de 14 ans, elle prends des cours de guitares. Elle avoue qu'au début c'était uniquement parce qu'elle trouvait le professeur très mignon... Mais ensuite elle s'est retrouvée à interprêter ses propres compositions dans des cafés à l'âge de 15 ans. Après le lycée, MoZella quitte Detroit pour Los Angeles afin de vivre pleinement sa passion pour la musique. Ce fut une transition difficile pour MoZella car elle se retrouvait sans voiture, sans amis et sans argent ! Le jour était reservé à des petits boulots et la nuit à écrire des chansons... Elle commence alors à faire des petits concerts dans des clubs locaux et des cafés. Et après quelques faux départs dans le showbusiness (notamment une courte collaboration avec le rappeur légendaire Warren G), elle enregistre une maquette : juste elle et sa guitare. Ce fut cette maquette qui attira l'attention d'un producteur anglais, qui l'invite alors à Londres pour faire des essais en studio. Quelques temps après son retour aux Etats-Unis, les différents labels commencèrent à demander MoZella. Elle finit par choisir Maverick Records, car ils corresponde bien avec son style de musique. Le travail sur le premier album de MoZella commence début 2004... En 2006, sa chanson Light Years Away apparaît sur la bande originale de la série Les Frères Scott (One Tree Hill) volume 2. Plusieurs de ses chansons sont aussi apparus dans la série elle-même. La sortie de son nouvel album, I Will est prévue pour le 1er août 2006. C'est le début du succès, et comme le montre ce site, un succès international !
Commentaire: Austine, non, ce n'est pas son nom, ne lui demandez pas; il parle de petits riens, de l'enfance, du nord ; de ce soleil qui manque ; - moules frites en cornet, oui, s'il vous plait - ; y'a d'la vie et des gens tout autour, demandez-lui ; elle vous répondra en souriant, adossée à la mer, qu'elle aime les gens, oui ; puis qu'elle a besoin d'eux ; comme écrire et chanter. Lilloise d'origine, elle vit aujourd'hui à Rennes, donne de nouveau à entendre; et ça, c'est une vraie bonne nouvelle. Quatre ans après « La tendresse » (Super Classe/Paris/2002), c'est aux côtés de THIRDSIDERECORDS (FUGU, SYD MATTERS, COCOSUMA, STEEPLE REMOVE) et dans le sillage de « Rhume », EP déjà dans les bacs, qu'elle nous offre à l'automne son premier album: « Ouh la la la » ; oui, c'est son nom. Austine nous revient ; telle qu'en elle-même; cabotine et légère, lumineuse et sensuelle. Mais pas complètement seule ; Rodolphe ADELE, PIERRE C. et ROBIN LEDUC, qui en compagnon de route sur ce projet, signe la co-réalisation avec COCOSUMA ; arrangements limpides et soignés, lignes mélodiques claires, cet opus respire d'une volonté d'aller à l'essentiel ; là où la légèreté n'exclue rien. Entre folk intimiste et suave (Les arbres d'en face ; Novembre), pop aérienne et ciselée (Rhume ; Petite Pute !), austine peuple ses chansons de vulnérabilité ludique, d'amours contingentes ou effacées (Cigale glacée), puis de ces apparences qui se réchauffent dans le noir (Leitmotiv) ; elle expie les malentendus d'insouciances cabossées et d'harmonies mélancoliques qui ne se prêtent qu'au jeu du désir, toujours devant soi (Dormir). Que faire après l'amour ? Demandez-lui encore, elle vous répondra chanter, avec la douceur diaphane et l'ingénuité tactile d'une fin d'après-midi ensoleillée. N'en croyez pas un mot ; et pas davantage ce qu'on en dit : Brassens et Boggaerts à dos d'chameau avec Françoise Hardy escortés de Julie Doiron et Nick Drake, le tout mis en musique par Ennio Morricone ou Belle et Sebastian ? Drôle de balade, mais qu'importe. Ses références, elles sont d'abord dans le regard et la simplicité ; seule urgence véritable. Alors austine, c'est une Chanson française revisitée à l'aune de ses cousins anglo-saxons ; certes. Mais c'est aussi et avant tout autre chose ; singulière ; ou plutôt tout cela ; cristalline et pure ; Austine c'est d'abord une voix, une voix qui enlace, qui accompagne et qui reste ; une voix qui fait du bien. Ne l'écoutez pas.
Commentaire: Provient du site Liability Sam Beam fait de la musique sous le nom de Iron & Wine depuis Septembre 2002, année de sortie de son premier album : « The Creek Drank the Cradle ». Un premier album mélodique, intime et magnifique. Sam touche donc la plupart de ses auditeurs par sa facilité à trouver des airs qui se retiennent, et par son aisance à transmettre sa fragilité et sa beauté intérieure. Les mélodies de Iron & Wine sont accessibles à tous, il suffit de s'y plonger 2 ou 3 fois pour s'y noyer définitivement au bout de 10 écoutes.
Nous sommes en 2004, deux années se sont écoulées... déjà, et Sam a donc eu le temps de confectionner de nouveaux titres. Il n'a pas changé, la quasi totalité de ces chansons sont construites seulement à partir d'une guitare sèche et de chant. Les mélodies sont encore là, toujours avec la même aisance et le même style. Et il est toujours aussi touchant : « Naked as we came », « Cinder and smoke », « Sunset soon forgotten » pour ne pas tous les citer... Les accords de guitare sèche s'enchaînent avec dextérité, le chant est beau... tout cela est touchant. Iron & Wine est l'un des groupes à découvrir en 2004, pour ceux qui auraient raté le premier passage... Session de rattrapage avec ce magnifique « Our endless numbered days ». On se demande comment Sub Pop déniche tant de talent(s)...
Commentaire: Provient du site officiel: A 29 ans, elle s'est déjà frottée à la comédie, au théatre et à l'écriture (court-métrages, chansons et une pièce de théatre). Ses paroles ne sont pas sans rappeler le ton féminin et direct du best seller "Le journal de Bridget Jones". Les filles y retrouveront leurs petits secrets et les hommes verront enfin ce qui rime avec fille. En plus, elle fait partie d'une formation jazz manouche délirante, composée d'un violon, d'une guitare et d'une contrebasse. Son répertoire est riche de tournures dont elle a le secret, "je suis une gastronome, une croqueuse d'hommes, le diner de meufs, célibataire cherche un mari, je veux un bébé, comme c'est vilain d'être radin, jamais revoir ses ex, demain j'arrete...". C'est sur scène que son talent s'exprime le mieux, tantôt piquant, ciselé, drôle, tantôt extraverti, sensible. Avec Charlotte, un concert peut prendre plusieurs formes. Elle a de l'énergie à revendre et ça s'entend... Histoire de retomber doucement sur terre pour être en état de travailler le lendemain matin. (Article de Marchma. billetreduc.com)
Parallèlement à une maitrise de cinéma à la fac, Charlotte suit le cours de théatre d'Yves Furet, et les cours de chant de Pierre-Yves Duchêne. Elle joue dans des pièces d'Obaldia (Les jumeaux étincelants), de Molière (Le Misanthrope, Les femmes savantes), de Camus (Le Malentendu), de Barillet et Grédy (Les Choutes) et dans des comédies musicales (Hair, L'Ombre d'un Géant de François Valéry à Mogador, Titanic à l'opéra d'Avignon mise en scène de Jean-Louis Grinda, 3 Chambres à Manhattan mise en scène par Jean-Luc Tardieu avec Nicole Croisille). Elle décide de co-écrire ses propres textes avec Marion Michau et de les mettre en musique par Eric Palud et Jérémie Dirat. Ses chansons se présentent sur scène comme des sketches jouant sur l'auto-dérision - réalistes, franches, drôles et émouvantes. Elle a co-écrit également deux courts-métrages et une pièce de théatre.
Commentaire: Crée au début des années 2000, le groupe Mig prend très vite la configuration d'un trio s'articulant autour de la chanteuse Djazia Satour . Originaire d'Algérie, dotée d'un timbre de voix particulièrement envoûtant, Djazia s'accompagne dès lors de Piero Martin (bass, percu, prog) et de Mathieu Goust (drums, percu prog), ses compagnons de route depuis le début de cette aventure... Peu après sa formation, Mig sort en mars 2001 un maxi éponyme de 6 titres.
Jusqu'en 2002, le groupe se consacre à la scène avec plus d'une cinquantaine de concerts à travers la France en première partie des Sinsemilia, des Cranberries ou de Dyonisos.
L'année 2003 sera surtout marquée par une période de composition qui voit naître une identité musicale plus affirmée : un mélange d'acoustique épurée et de soft électonique porté par des chants en anglais, en arabe ou en français évoquant tour à tour la nostalgie, le rêve, le souvenir... Un trip-hop teinté de saveurs soul, hip-hop et de sonorités arabisantes dans lequel Mig explore des contrées musicales chatoyantes et voluptueuses.
L'année 2004 signe leur reconnaissance sur la scène électro française puisque leur premier album « Dhikrayat » (sop/bmg), en collaboration avec Fred Monestier à la réalisation, se vend à plus de 15.000 exemplaires. La voix de Djazia résonne déjà comme une invitation au voyage... Qui les mènera a travers les salles et festivals de France jusqu'en 2005, nouvelle année de composition, qui vient de donner naissance à leur deuxième album « Yamatna » (exclaim /warner)...
Personnellement, j'ai découvert Mig grace au featuring que Djazia a fait avec Pep's pour la chanson Liberta...
Commentaire: D'une sincérité rare, Agora Fidelio pousse l'émotion aux confins de l'intimisme et de l'ambiguité. Le groupe ose en français partager ses histoires ouvertes et personnelles, comme ont pu le faire Mano Solo ou Bertrand Cantat. Dans des ambiances faussement confortables à l'instar des Murder Ballads de Nick Cave, de soupirs en bruissements, de tensions en exutoires, l'ombre de Mogwaï se lave. A leur égard, la presse unanime a cité Sigur Ros, Noir Désir, A Perfect Circle etc... Agora Fidelio a surtout trouvé sa voie et sa voix, en français, postrock intimiste et aérien. Sur scène, on ne ressort à priori pas indemme d'un concert d'Agora Fidelio tant le groupe parvient à remuer des choses intérieures en chacun de nous. Entre Cult Of Luna et Diabologum, une aventure à écouter et à vivre...
Commentaire: Issus de diverses formations de la région de Draguignan, les membres de karsoHn se connaissent depuis dix ans. Début 2004 ils décident de concrétiser leur projet d'un groupe commun, correspondant plus à leurs attentes musicales qu'ils situent entre le néo métal et le psyko métal. Ils le nommeront KarsoHn.
L'arrivée d'Emily au micro scelle le line up. Son esprit torturé, en plus de coïncider parfaitement avec celui des 4 autres membres, donne tout leur sens aux résonances parfois psychotiques des morceaux.
La musique, ainsi dotée d'une âme, oscille entre rythmiques lourdes et passages planants, entre cris désespérés et pleurs chuchotés. Elle parcourt les différentes facettes de la personnalité, visiblement perturbée de cet être nommé karsoHn.
Après plusieurs concerts tests plutôt réussis, karsoHn enregistre et mixe son premier EP « Jeux de Maux ». Cet auto produit est masterisé au Millenium Studio à Nice en Juin 2005. Disponible depuis fin de cette même année sur les concerts et le site internet du groupe, il demeure le premier outil de KarsoHn dans la démarche de nouvelles dates.
Commentaire: Arwen est un groupe de six fours (83), dans les environs toulonnais, qui voit le jour dans le courant de l'année 2000... Les premières répétitions font d'Arwen un groupe évoluant dans un style plutot rock puis résolument métal... Après quelques petits concerts dans la région toulonnaise aux cotés de plusieurs groupes varois, la formation enregistre elle même en aout 2002, une démo qui se voit abandonnée quelques temps après... En effet, non satisfait de ces premiers titres, le quintet en vient à se refermer sur lui même et se terre dans son local de répétition, abandonnant ainsi la plupart de ses premières compositions pour mettre en place un tout nouveau registre, plus en phase avec l'esprit et l'évolution de ses musiciens...
En juillet 2005,le groupe se sépare de son second guitariste pour des raisons personnelles et décide de ne pas le remplacer... Les dernières compositions, elles, sont gardées et trouvent même un nouveau souffle... Les nouveaux morceaux se veulent résolument plus durs que les précédents... Entre une touche néo et une touche hardcore, le groupe trouve son idéal... Utilisé a bon escient dans chaque titre, donnant ainsi la petite touche Arwen...
Afin de pouvoir se faire reconnaitre au sein d'un milieu musical assez vaste,en novembre 2005, Arwen rentre au studio "Cox in hell" (Eths, Bomb Factory, Oedipe) avec Bill (Diva) aux manettes et décide d'enregistrer un 3 titres "Corruption", reflétant ainsi la vraie personnalité du groupe... Quelques mois plus tard, le groupe aura l'occasion de défendre son bébé lors de dates importantes comme la 1ere partie d'Agressor à la MJC Picaud ou encore celle de Life Kit au Korigan, pour partir ensuite faire une mini tournée de 6 dates à travers quelques villes francaises telles que Paris, Orleans ou encore Cannes... Avec une chronique de "Corruption" forte positive de Nawakposse, Arwen continue son chemin avec plus de volonté, de maturité et motivation pour grandir encore...
Commentaire: Loin du vacarme de la ville, loin des agitations de notre quotidien, un homme presque seul, guitare sèche en main et une poignée de chansons en poche risque de bouleverser le petit monde de la chanson dite française. Bien loin des clichés, Rit, inspiré par le reggae, le blues, se défait des conventions habituelles de ces genres musicaux pour en extraire de petites perles musicales. Difficile de dire que cet artiste est authentique ou engagé tant ces mots sont utilisés à tort et à travers, or il l'est bel et bien ! Chuchotis à l'oreille, mélodie en plein coeur, instrumentation minimale, poésie essentielle, cet album vient des silences qui nous manquent. Ou alors c'est que Rit, avec ses onze titres tendres et dépouillés revient des déflagrations sonores de notre monde de fou.
Commentaire: Source: La FNAC: Après un premier album éponyme sorti en 2002 et une pause dédiée à Slipknot, l'autre groupe du chanteur et du guitariste, Stone Sour revient avec un deuxième album encore plus intense. « Come What(ever) May », produit par Nick Raskulinecz (Foo Fighters, Velvet Revolver) dans les studios de Dave Grohl en Californie, est un superbe album flirtant entre le rock alternatif et le metal mélodique et émotionnel. Propulsé sur le devant de la scène grâce à des tournées incessantes, à l'imparable single « Bother » et à des titres rythmés et mélodiques, Stone Sour s'imposer comme un véritable phénomène rock !...
Commentaire: Rocé préfère chanter sa foi en l'individu, sa capacité à se jouer des clichés et des moules, son humanité qui s'exprime de mille et une façons. Là où la plupart de ses collègues restent dans la dénonciation ou le constat, quand ils ne se complaisent pas dans une posture de victime, lui privilégie l'élévation. Changer le monde est son ambition depuis le premier jour, mais aujourd'hui il veut en plus ramener un autre vocabulaire, d'autres problématiques, bref " sortir le rap de l'enfance " en lui offrant de nouvelles perspectives, des portes de sortie. Pour cela, il a longuement affûté son propos avec l'aide de son acolyte Djohar, co-auteure de l'ensemble des textes de " Identité En Crescendo ", pesant et repesant chacun de ses mots, parce qu'il voulait pouvoir assumer cet album de A à Z, en revendiquer chaque phrase, chaque son, chaque détail même. Le résultat est à la hauteur : Un disque unique, singulier, dégagé de toute posture, rejetant les schémas établis aux abîmes, l'oeuvre sans compromis d'un "MC amphibien nageant à contre-courant dans le flot parisien", bref du Rocé pur jus...
Commentaire: Envie de regarder le monde par le kaléidoscope de l'amour, de l'excès, de la dérision.
Envie de bouleverser les codes de la chanson française et de faire se percuter le monde du contretemps et des rythmiques charnues avec l'univers du texte et l'amour des mots.
Envie de douceur, d'aspérités, de voyages, de poésie, de heurts, d'ouverture sur le monde, de tempêtes, d'échanges et de désillusions.
Envie de caisses claires qui claquent, de basses rondes et chaloupées, de claviers Rhodes, de guitares claires et saturées, envie de contretemps.
Envie de mélodies inattendues, de schizophrénies vocales, de verbes, de maux, de malice espiègle et de tendre tristesse.
Envie d'amour, de ruptures, de reconquêtes, de rêves, de vie, de peurs, de doutes, d'amitié et de réalité cinglante.
Envie d'un pont entre la scène et le disque. Envie de cultiver la différence entre scène et disque.
Envie, oh oui, une putain d'envie, de vous présenter enfin ce disque !
Commentaire: Ils ont un style à part, un son qui n'appartient qu'à eux et une aura de choc et de charme : TOKIO HOTEL est un phénomène musical qui envoûte immédiatement le public. Ils sont radicalement différents de ce qu'on connaît déjá, plus émouvants, plus imposants aussi. Rien ne peut faire obstacle à la notoriété fulgurante de TOKIO HOTEL. Hissés en flèche au sommet du hit-parade allemand où le morceau "traverser la mousson" caracole en tête des charts depuis des semaines, récompensés par de médailles d'or en Allemagne et en Autriche, nominés dans la catégorie Jeunes Talents aux Comet, Echo Award et 1 livekrone, célébrés par les critiques de part et d'autre du pays et tout ça n'est pas prêt de s'arrêter. Avec la sortie de leur premier album "Schrei", le succès de TOKIO HOTEL continue sur sa lancée. Attendu de pied ferme par les fans, voici enfin réuni en un album toute la gamme de leurs morceaux, TOKIO HOTEL fait culminer son art et prévoit également de faire rocker tout le pays dans sa prochaine tournée.
Commentaire: Source: Site de la FNAC Ce jeune Écossais s'est fait remarquer cet été au festival de Montreux en apparaissant lors de la soirée hommage à Ahmet Ertegun. Le légendaire producteur du label Atalantic, « découvreur » de Ray Charles, a en effet signé ce débutant promis selon lui à un bel avenir. Belle gueule, voix gorgée de soul façon Van Morrison période "Them" : à 19 ans, Nutini multiplie les atouts. Dominées par une guitare acoustique, ses chansons bien troussées séduiront les amateurs de pop britannique façon Coldplay, voire James Blunt. Enregistré sous la houlette de Ken Nelson, collaborateur de "Badly Drawn Boy", ce premier album fait d'ores et déjà de son auteur une personnalité à suivre de près.
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Les chansons proposées restent la propriété de leurs auteurs respectifs. (et les bénéfices qu'elles rapportent tombent encore et toujours dans la poche des majors...)
