Commentaire: Peu importe la foi et fi des espérances. Dieu Merci, la vie selon Kaolin ne s'embarrasse guère des préjugés. Indescriptible, sans loi ni genre, si ce n'est le goût très sûr pour l'harmonie universelle, l'élégie galante et les plaisirs mélancoliques. A force d'observer depuis des lustres ses rares paradoxes, on pourrait écrire un livre sur l'habileté diabolique du quartet montluçonnais, les premières tentatives discographiques, de celles qui soulevaient déjà d'admirables voiles bref, un ouvrage biographique racontant à chaque page les durs écueils, franchis avec une élégance et une facilité désarmantes.
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